11 février 2013
N’attendez pas de moi que je tourne la page Il
N’attendez pas de moi que je tourne la page
Il est des souvenirs qu’on ne veut oublier !
Quand bien même il faudrait, amène, se plier
A ces sourires feints, que la raison propage
Il resterait au cœur cet immense tapage
Et ce souffle en désordre au point d’asphyxier
Tout élan, tout conseil, et comment obvier
Au désarroi qui vient jusques à l’abordage
Au matin, puis sans cesse, à l’esprit tout empli ?
Le livre n’avait bien au fond qu’un seul chapitre !!!
Et des mots alignés au long de cette épître
Il jaillit tant de fleurs, de soleil, d’herbe tendre
Et de vagues de sel, qu’il me trouble d’entendre
En ce huis clos choisi, tout mon cycle accompli !
Cécile Arielle 11 Février 2013
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