26 mai 2016
Ici pleurent les maux, ailleurs chante le Verbe !
Ici pleurent les maux, ailleurs chante le Verbe !
En une fleur se lit, subtile, la raison
De l’être en son chemin vers l’ultime saison.
Quand se taisent les mots et le dernier proverbe
Insidieusement une flamme désherbe
Un espace miné, cerné d’une cloison.
Il restera dans l’air en leur déclinaison
Un silence effrayant, une critique acerbe !
Et la course cosmique éludera le temps
Si fragile, si bref de la planète ronde
Aux reflets bleus et ocre ! Un tout nouveau printemps
Offrira la lumière et la vie à la ronde
Afin qu’à l’infini par un souffle essentiel
Palpitent d’autres cœurs dans un même arc en ciel.
Cécile Arielle 20 Mai 2016
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