11 novembre 2013
Sous l’arche, nous vivons ces instants éternels
Sous l’arche, nous vivons ces instants éternels
Reliés à jamais par les couleurs du prisme
Où fleurissent enfin, loin de tout verbalisme,
Un sens réel de l’être en dons additionnels.
Au-delà du tangible et des sons rationnels
Se perdent à jamais l’excès et l’euphémisme ;
Il n’est plus temps alors de craindre un cataclysme
En la pluralité des cœurs processionnels
Qui musent apaisés dans les aubes sereines !
Entre le ciel et l’eau cette complicité
Vient rejaillir sur terre en ondes souveraines
Et se taisent les cris de notre cécité !
La lumière a frôlé de ses feux l’avant-scène
En éloignant les peurs qu’Atropos nous assène.
Cécile Arielle 03 Novembre 2013
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