16 décembre 2010
L’étang ne dormait plus en ce matin d’été Il
L’étang ne dormait plus en ce matin d’été Il s’éveillait au jour, étirant ses eaux pures En friselis légers, comme autant de froissures Qui venaient échouer en sa finalité. Il recevait l’hommage en riant aparté De ces insectes bleus, qui dans les échancrures...