8 novembre 2017
Indolente, la nuit, trop lentement paresse Et je
Indolente, la nuit, trop lentement paresse
Et je jour s’impatiente : en ce huit, il a tant
De peine à consoler … au moins un bref instant !
Il sait la tâche folle en chaque forteresse !
Et si le soleil luit, mais si mal intéresse
A quoi bon décider d’inventer un Printemps ?
Les ans ont déjà fui, les saisons, et pourtant
La lumière n’est plus jamais enchanteresse !
Elle est tout simplement le reflet du silence …
Une rose fleurit, je crois, ta préférée
Elle vole en l’air frais, comme avec nonchalance
Un soupir échappé d’une brume éthérée
Afin d’en préserver la douceur éternelle
Et d’en restituer la grâce originelle.
Cécile Arielle 21 Octobre 2017
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