Le ciel a révélé son azur infini ; La mer ? Je
Le ciel a révélé son azur infini ;
La mer ? Je l’imagine apaisée ondoyante
Et la rose d’été s’enflamme, chatoyante
A l’horizon, pour moi, désormais défini.
Si le feu pâlissait, et devenait honni
Peut-être qu’en miroir, la force clairvoyante
Et riche de l’esprit, ouvrirait, tournoyante
Une sente fleurie, un long couloir béni
Vers lequel avancer sans regrets, sans frayeur …
Et j’y découvrirais, bienfaisante, cette arche
Au détour d’un buisson, et ce monde meilleur ;
Un univers de paix, de ferveur, de savoir
Où près de toi toujours, je pourrais enfin voir
Une aurore sans fin et l’éternel en marche
Cécile Arielle 14 Juin 2012